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Les 12 médaillons d'or

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les avis de Cinemasie

4 critiques: 3.19/5

vos avis

14 critiques: 3.23/5

visiteurnote
Guesar 4
jeff 4
k-chan 3.75
Manolo 3.5
seizan 3.5
A-b-a 3.5
Sauzer 3.5
jool 3.25
jeff_strike 3
Fred30 3
Phildu62 2.75
le singe 2.75
Christian D 1.25


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

Excellent Wuxia

"The 12 gold medaillions" est une production Shaw tres nerveuse et tres inventive.Yueh Hua est merveilleux, les combats de fin sont somptueux et les fans de Ching Siu Tung devraient y trouver leur compte. Recommandé...

13 avril 2003
par Guesar


tres tres bon film

c'est fou sur 2 ou 3 ans ans de temps ,comme les films de la shaw ont changés au niveau des combats, je sais bien qu'il faut pas toujours comparer les films mais ici dans ce film de cheng kang on retrouve deja un autre style de chorégraphies que dans comme drink with me ou temple of the red lotus, film tres nerveux et super violent ce film est une tres bonne surprise avec des combats deja tres aèriens (surtout pour l'époque) mais bon cheng kang est aussi le pere de ching siu tung et deja ca se sent dans le film ....."a great shaw movie".

31 décembre 2003
par jeff


"Les 12 Médaillons d'or" demeure un bon film bravant plutôt bien le passage des années. Les chorégraphies sont réalisées avec une certaine minutie mais m'ont surtout plu par l'utilisation d'armes sans doute assez originales pour l'époque (1970). Certaines scènes d'action volontiers sanglantes se voient précédés de "joutes oratoires", me faisant penser à du King Hu. "L'amourette" allonge inutilement le film sans le rendre insupportable. Le casting est impeccable et investie.

20 juin 2020
par A-b-a


Le tout venant du genre pour son époque

Le Film
Avec ce "Twelve Gold Medallions", deux ans avant ses Fourteen Amazons, Cheng Kang s'attaquait déjà à un mythique épisode de l'histoire de la chute des Song célébrant la bravoure patriotique. Mais tandis que son œuvre maitresse aura su profiter de la maturation du genre wuxia opéré entre fin-60' et début-70' (ainsi que d'un budget conséquent) pour nous offrir une luxueuse production à l'efficacité indiscutable, le présent opus peine à s'éloigner du tout venant de cette époque de transition.
Pourtant, de son pitch de départ et de la possibilité d'y traiter notamment de la sainte quintinité du confucianisme, il y avait de quoi tirer rien de moins qu'un grand film, Cheng Kang disposant à l'évidence de toutes les qualités requises pour les mettre en œuvre (voir l'intensité de son Sword of Swords de 1968 ou la galerie de personnages de son simple mais efficace Killers Five de 1969). Malheureusement, ici tout cela restera très terre à terre, les personnages plantés au minimum et leurs contradictions tout juste énoncées, le métrage semblant vouloir rythmer son déroulement sur une partie action qui, elle-même ne décollera pas d'avantage. Ne bénéficiant ni de la vision surréaliste esthétisante initiée par King Hu ni de la performance martiale des athlètes à venir, les combats ponctuant l'aventure se montreront juste honnêtes pour l'époque et sans inventivité particulière. Même la quête des 12 médaillons du titre qui aurait pu constituer un argument d'action-movie à suspens en soi semble peu à peu passer au second plan (mais derrière quoi, pourrait-on se demander ?...).
 
Verdict

Résulte donc de tout cela un film en demi-teinte que l'on peut juger d'autant plus décevant qu'il promettait au départ de bien belles choses (mais, comme disait quelqu'un, "les promesses n'engagent que ceux qui les croient"...). C'est gentiment propre, ça passe bien le temps que ça dure et ça fait faire un (tout petit) peu d'histoire mais ça sera tout.
A considérer comme un film d'attente dans la carrière de Cheng Kang, éventuellement lié à de sombres impératifs de production.
 
En complément

Pour ceux qui voudraient une suite (et fin) à la triste histoire de ce bon General Yue Fei, voir Invincible Sword sorti l'année suivante par la Golden Harvest avec des ex-SB (Chui Chang Wang à la réalisation et Jimmy Wang Yu au sabre invincible).


31 mai 2013
par le singe


Les Hans sont les plus fort et les traites sont des chiens puant qui mérite la mort parce qu'ils sont des traites et c'est pas bien de renier la patrie des hans et etc etc

Je me suis ennuyé. Je me rend compte que les histoires patriotiques me font chier (tout comme les histoire de "mon sifu est plus fort que le tient - oui mais le miens est agent de police blablabla). Si j'aime tant les Cheh - Hu et Yuan c'est qu'en fait ça parle d'autre chose. Les Obsession militaire et du pouvoir chez Hu, les pulsion sado-homo-erotique de Cheh avec ses personnages souffrant du complexe du martyre (ou tout autre mordibidté du même genre) ou les wuxia de Yuan qui bien que situé dans le monde du Jiang Hu nous parle en fait d'aujourd'hui. 12 medaillons est trop premier degré, trop... trop "je fais un wuxia et je respecte les codes et un point c'est tout". De plus, le duel final entre les 2 vieillards obèses me fait sourire. On a toujours truqué dans le wuxia certe... et je sais bien que l'on peut faire passer un non artiste martial pour un swordsman expert. Mais ici, je sais pas, je n'ai pu m'empêcher de sourire (et si ce sont eux qui font vraiment le combat final he ben c'est pire)... En gros, je ne connaissais que la tryptique Cheh-Yuan-Hu et je voulais découvrire le reste... mais mes explorations n'ont pas porter fruit.

14 septembre 2004
par Christian D


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